Andancette

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Andancette
Andancette
Le pont suspendu Marc-Seguin.
Blason de Andancette
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Valence
Intercommunalité Communauté de communes Porte de Dromardèche
Maire
Mandat
Frédéric Chenevier
2020-2026
Code postal 26140
Code commune 26009
Démographie
Gentilé Andancettois
Population
municipale
1 309 hab. (2021 en diminution de 2,6 % par rapport à 2015)
Densité 219 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 14′ 34″ nord, 4° 48′ 27″ est
Altitude Min. 129 m
Max. 168 m
Superficie 5,98 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Roussillon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Vallier (Drôme)
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Andancette
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Andancette
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Andancette
Liens
Site web andancette.fr/

Andancette est une commune française datant de , située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation et description[modifier | modifier le code]

La commune d'Andancette est située au nord du département, à 35 km au nord de Valence et à 55 km au sud de Lyon. Elle est rattachée à la communauté de communes Porte de Dromardèche dont le siège est fixé dans la commune voisine de Saint-Vallier.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée par les cours d'eau suivants :

  • le Rhône qui la borde à l'ouest ;
  • le Bancel (au sud)[1] ;
  • Ruisseau de Bellevue (au nord).

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 833 mm, avec 7,6 jours de précipitations en janvier et 5,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Désirat Sa »sur la commune de Saint-Désirat à 2 km à vol d'oiseau[4], est de 13,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 698,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est délimitée, à l'est, par la route nationale 7 (RN7) qui longe la vallée du Rhône de Lyon à Arles. Le village est desservi par la route départementale 1 (RD1) qui, traversant le Rhône, mène à la route départementale 86.

L'autoroute A7 passe à l'est, sur la commune d'Albon ; son péage le plus proche est situé sur la commune limitrophe de Saint-Rambert-d'Albon au nord.

La gare d'Andancette est fermée depuis 2002[8].
Celles de Saint-Rambert-d'Albon au nord et de Saint-Vallier au sud, toutes deux situées à environ 6 km, permettent l'accès au réseau ferroviaire de l'axe Paris-Lyon-Marseille.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Andancette est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Vallier, une agglomération inter-départementale regroupant 7 communes[12] et 11 784 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

La commune fait partie de l'aire d'attraction de Roussillon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 27 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (63,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (28,2 %), cultures permanentes (26 %), eaux continentales[Note 3] (11,2 %), zones urbanisées (10,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9,4 %), mines, décharges et chantiers (8,4 %), terres arables (5,9 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Le village s'est développé le long du Rhône, juste en face du village d'Andance (situé sur la rive droite en Ardèche). Il est axé sur quatre rues principales.

Quartiers, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Site Géoportail (carte IGN) :

  • Bancel
  • Bellevue
  • Châtaignier
  • Grangeneuve
  • la Grange
  • le Couriot
  • le Creux de la Tine
  • le Dauphin
  • le Ravicole
  • les Blachettes
  • les Gorges
  • les Marettes
  • les Payots
  • les Pierrelles
  • les Vignes
  • Marette
  • Mourras
  • Montarus
  • Saint-Joseph Ferme
  • Saint-Régis

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]


Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[18].

  • 1473 : Andanceta et Andansete (Recogn., Sancti Valerii, 62-63).
  • 1891 : Andancette, commune du canton de Saint-Vallier.

Étymologie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Protohistoire : les Celtes[modifier | modifier le code]

Présence gauloise[19].

Antiquité : les Gallo-romains[modifier | modifier le code]

À l'origine, Figlinae, devenue Figlinis, est un village gallo-romain situé sur la voie Agrippa. Son nom correspond au latin figlina / figulina « atelier de potier ». On tend à le situer au sud du bourg actuel. Cet établissement fut détruit par les invasions barbares après la chute de l'Empire romain d'Occident[réf. nécessaire].

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

De 1265 à 1309, les frères pontifes construisent sur l'emplacement de l'ancien village gallo-romain Figlinis, le village d'Andancette[réf. nécessaire].

Halte à l'époque de la batellerie[19].

Avant 1790, Andancette était une paroisse du diocèse de Vienne dont l'église était dédiée à saint André. Cette paroisse dépendant d'Albon au point de vue féodal, administratif et judiciaire[18].

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

La gare d'Andancette a fonctionné de 1855 à 2002[8].

Le , sous l'impulsion de Pierre Isidore Christophle (ami de Léon Gambetta et de son frère Émile), le hameau d'Andancette est détachée d'Albon et devient une commune à part entière[18]. Pierre Isidore Christophle devient le premier maire.

Aimé Jay est le prêtre d'Andancette de jusque dans les années . Ami de René Roche, il est à l'origine du gigantesque projet de restauration et de modernisation de l'église du village[réf. nécessaire].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.

Tendance politique et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de quinze.

À la suite des élections municipales françaises de 2020, le conseil municipal est composé du maire, de trois adjoints et de onze conseillers municipaux[20][source insuffisante].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la création de la commune
1872 1874 Pierre Isidore Christophle   député de la Drôme
ami de Léon Gambetta
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 ?    
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1959 ?    
1959 1965 ?    
1965 1971 ?    
1971 1977 ?    
1977 1983 ?    
1983 1997 Jean Chenevier    
1997
(élection ?)
2001 Pierre Fraisse    
2001 2014 André Roussellet    
2014 En cours
(au 14 mars 2021)
Frédéric Chenevier[20][source insuffisante] PS responsable de restauration en EHPAD
maire sortant

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Andancette fait partie de la communauté de communes Porte de DrômArdèche.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1872. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].

En 2021, la commune comptait 1 309 habitants[Note 4], en diminution de 2,6 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
636717679646635640614630663
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
6186376286426686857819761 099
1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 2021
1 0201 1571 1561 2171 2371 2651 3441 3281 309
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Santé[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Corso de la commune libre de Radier : le dimanche après Pâques[19].
  • Vogue : le deuxième dimanche de juillet[19].

Loisirs[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est traversé par la l'itinéraire européen EuroVelo 17, dénommée ViaRhôna et qui longe la rive du Rhône (promenades à pied, en vélo ou en roller)[8].

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de Romans - Nord Drôme, un ou plusieurs articles à l'actualité de la ville, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

Cultes[modifier | modifier le code]

Economie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

En 1992 : vergers[19].

  • Foire le [19].

Commerce[modifier | modifier le code]

Industrie[modifier | modifier le code]

  • Abords industriels[19].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-André.
  • Maison Baborier (XVe siècle) avec sa voûte et son linteau[19] : la première maison du village[8].
  • Rue du Rhône pavée : demeures bourgeoises (dont la maison Baborier)[8].
  • Église (XIXe siècle) : réemploi d'un linteau gothique de l'ancienne église[19].
Église Saint-André : linteau d'époque gothique (XIIIe siècle ou XIVe siècle) provenant de l'ancienne église (qui faisait partie du prieuré Saint-André), vitrail de 1896-1945 restauré en [8].
  • Pont suspendu (XIXe siècle)[19].
Pont Marc-Seguin () : le plus vieux pont suspendu de France (encore en activité)[8].
  • Gare d'Andancette : elle a fonctionné de 1855 à 2002[8].
  • Maison Émile-Christophle : Léon Gambetta (1838-1882) y séjourna[8].
  • Saint-Joseph : ancien quartier[8].
  • Ancien chemin de halage (aujourd'hui les quais et bords du Rhône)[8].
  • Ancienne Grande Vermicellerie du Rhône[8].
  • Ancienne graineterie Du Sert[8].
  • Quartier des Marettes : ancien prieuré des Marettes ; usine Pont-à-Mousson (usine d'amiante la plus grande de France, fermée le )[8].

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de {{{commune}}} Blason
D'argent au dauphin d'azur adextré d'une amphore au naturel et accompagné en chef à dextre du nombre 26, à senestre de la date 1872 et en pointe à senestre de la date 1972, le tout en chiffres gothiques de sable ; au chef soudé d'argent chargé de l'inscription Andancette en lettres gothiques aussi de sable.
Détails
réalisé en 1972 par l'artiste-peintre andancettoise Jamar

Annexes[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Andancette et Saint-Désirat », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Désirat Sa », sur la commune de Saint-Désirat - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Désirat Sa », sur la commune de Saint-Désirat - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. a b c d e f g h i j k l m et n « Patrimoine », sur Andancette (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Saint-Vallier », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b et c J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 7 (Andancette).
  19. a b c d e f g h i j et k Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Andancette.
  20. a et b Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. « Henri Chosson - Auteur », sur data.bnf.fr (consulté le ).
  26. « Henri Chosson - CHRD », sur Chrd / musée d'histoire / lyon dans la… (consulté le ).